Ôde à la flemme
La flemme n’existe pas Je sais, je jette un énorme pavé dans la mare quand je balance ça tout de go. Oui, j’assume complètement mon propos : LA FLEMME N’EXISTE PAS . Oui, oui, même pour toi l’ado qui passe ses journées allongé au milieu de papiers vides de barres de céréales et de linge non rangé. Oui, oui, même pour toi l’homme ou la femme qui préfère ne pas regarder la pile de vaisselle pour aller scroller Facebook sur ton canapé. Et oui, aussi, pour toi, le sportif accompli qui a sa prochaine course dans 1 mois mais qui ce soir, préfère la chaleur de son foyer à l’humidité des sous-bois. Quand j’explique ça aux personnes que je forme -généralement ça arrive juste après « les caprices ça n’existe pas » mais on en parlera une autre fois, ça vaut son pesant de cacahuètes aussi – j’ai droit à, dans le désordre : des ricanements, des yeux levés au ciel, des soupirs, des haussements de sourcils. Une fois, j’ai entendu un « Merci !!! », mai...